à savoir
À LA CROISÉE DES JARDINS
je cherche des chemins qui me chantent
des chansons douces
des chansons vives
les trouve
me perd
m'y trouve
puis retrouve le chemin du mien
plein du goût de ceux des autres
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Ce blog est me sert à apprendre (et) à écrire sur le jardinage. Si en plus des lecteurs virtuels j'en intéresse de réels, je serai très content. N'hésitez pas à commenter ou à me contacter.
Il est né de ma passion pour les plantes et le jardinage. Il se nourrit de celles des autres jardiniers, botanistes, ... et en présentent quelques fruits. J'apprends beaucoup à me promener enfin à longueur de journées dans ce verger. Ce blog se veut un partage de ce j'y glane.
Il est fabriqué et mis en page à l'aide d'un ordinateur, outil plus adapté à sa consultation qu'un smartphone.
Les éléments en bleu seront développés ultérieurement.
Les contenus sujets à l'actualité sont datés afin que vous puissiez juger de leur fraîcheur. Je vous remercie par avance de m'aider à les actualiser.
Une question qui n'est pas neutre : masculin ou féminin ?
Je travaille à être, autant qu'il est possible pour un homme, féministe. Alors j'ai fait mienne l'option retenue par Alain Damasio dans Vallée du silicium :
" Du point médian qui hache la lecture à la concaténation du type "auteurice" qui alourdit les mots, les procédés de l'écriture inclusive se multiplient, tous discutables et discutés.
Ici comme souvent, c'est la fluidité (...) c'est la fluidité qui fait défaut. Comme si la tension naturelle de la langue, qui privilégie concision, liquidité et euphonie١ était le point aveugle de ces méritoires tentatives d'amélioration.
L'élégance élémentaire appelle plutôt les épicènes et l'alternance, notamment, du féminin et du masculin dans les énumérations.
Je propose dans cet ouvrage une solution simple et percutante que je fais alterner une chronique sur deux : c'est la féminisation assumée des pluriels neutres.
Mon espoir est que la gymnastique mentale consistant à se souvenir que, derrière les Européennes, il existe aussi des européens (...), fasse pendant aux quatre siècles où c'est le masculin pluriel qui valait "aussi" pour un féminin enfoui ou caché derrière, en tout cas subsumé١.
Subsumer en miroir le masculin fait ressentir, il me semble, ce que ça fait d'être implicite (...) Comme vous l'éprouverez sûrement, ce modeste retournement produit un trouble réel, que je trouve stimulant, sinon salutaire."
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